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L'idée originale, c'était d'offrir une soirée en pluralité masculine à la courageuse et non moins gourmande Andreas, une femme succulente et plantureuse fin quarantaine. Avec son mari Jerry et Danny, un pote commun, plus votre serviteur, la partie était bien engagée. J'avais aussi convié deux petits nouveaux à nous retrouver dans un sauna helvétique. Et même si ces derniers se sont dégonflés, on envisageait de passer une belle soirée, quitte à trouver sur place des personnes intéressantes.
En longeant le bar, v'là-t'y pas que Jerry reconnaissait une jeune femme déjà rencontrée quelques mois auparavant ! Très bi elle-même, c'était surtout avec Andreas que Noëlle avait coquiné en fin de soirée. On a fait les présentations: souriante, et pulpeuse, elle changeait immédiatement les perspectives de la soirée. Des perspectives qui allaient se réaliser dans tout l'établissement.

Dans le hammam, ces dames ont offert un spectacle saphique à s'en pourlécher les babines. Toutes les babines. Trois gardes du corps les protégeaient d'une meute d'hommes aux abois. Ils n'en perdaient pas une goutte. Enfin, façon de parler. Car c'est plus tard, dans une cabine privée, que j'ai pu découvrir la fontaine de jouvence de notre nouvelle partenaire. Après de nouvelles léchouilles entre femmes, jusqu'à l'orgasme pour Andreas, elle s'est fait prendre en levrette par Jerry, qui avait bien enclanché la maniclette. Mes doigts avaient juste apporté la touche finale. Pas le temps de la laisser refroidir: je me couvrais à mon tour et la besognait. Mais pas longtemps, car j'ai vite remarqué qu'une réplique s'annonçait... encore plus forte que la première ! Cette vision érotique retitillait Andreas et lui faisait reprendre l'ascenseur. Vers le cinquième étage. Au moins. Si on sait comment appuyer sur le bouton. Ou plutôt le caresser avec la douceur nécessaire. Avant de redescendre vers les douches et le bar, j'ai quand même annoncé qu'avoir dissimulé une telle perle vaudrait à Andreas une sentence irrévocable et immédiatement exécutoire : une fessée cul nu dans le couloir ! Elle s'est prêtée au jeu, en me laissant dévoiler puis claquer son superbe postérieur. Pour atténuer la sentence, elle s'est permise de rejeter une part de la responsabilité sur Noëlle qui n'avait pas confirmé, car pas sûre de sa disponibilité jusqu'au dernier moment... Allais-je laisser passer cette occasion ? Que nenni ! Même faute, même sanction. Pas le temps de dire ouf que Noëlle se retrouvait elle aussi penchée sur ma cuisse pour recevoir le même tarif !
Dans le jacuzzi, elles se contentaient de caresses en apparence anodines en causant chiffons. Ou plutôt partie de jambes en l'air. C'est là qu'Andreas m'a désigné comme meilleur pourvoyeur d'orgasmes - son mari jouant hors catégorie. Quelle fierté ! Et quel défi implicite ! De retour dans une cabine, plutôt suffocante, je me suis mis en tête de montrer que ce n'était pas des paroles en l'air. Y joignant le geste, j'ai donc gratifié la dame de caresses savantes et trébuchantes, jusqu'à la faire tomber en pamoison.
Dans les douches, les savonnades de ces deux reines attiraient les mâles, cantonnés dans un rôle de purs voyeurs et d'entendeurs. Car elles étaient bien sonores, ces dames moins gourgandines qu'ils ne l'auraient souhaité. Epuisées par leurs ébats, et les nôtres, elles ont suggéré que pour le dernier set, ce serait à elle de jouer les voyeuses. Noëlle regrettait effectivement de ne pas avoir assez d'occasions de voir des hommes jouer entre eux. Si ce qu'une femme veut, dieu le veut... quand elles sont deux à le vouloir... on ne fait pas les malins. On s'exécute ! Alors que Danny s'occupaient de remettre Jerry en forme, j'ai eu la chance d'avoir une double pipe féminine pour moi. Le régal absolu. Sentir mon membre passer d'une bouche à l'autre, ou le sentir au milieu de leurs baisers fougueux ( le baiser français, c'est avec la langue... mais quand il y a une bite, on dit comment ?...), ou sentir des léchouilles sur les couilles et un doux coulissement sur la tige... Je serais bien resté dans cette figure encore de longues minutes... mais nous avions une mission à faire. J'ai donc d'abord embroché Danny en levrette pour qu'il puisse continue de pomper Jerry. Sur ses fesses alternaient mes claques et les caresses d'encouragement de Noëlle. Elle ne pouvait pas rester pur voyeuse, je le sentais bien. J'ai donc retourné mon partenaire pour le besogner en missionnaire, puis sur le côté, pour qu'il puisse rouler des patins à sa dulcinée de la soirée. Dulcinée qui pouvait ainsi le faire durcir en le branlant quasi innocemment. On s'est quitté en se promettant de ne pas attendre décembre pour fêter Noëlle à nouveau.