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D'ordinaire, quand nous aidons un mec à (se) coucher moins bête, ça se passe en petit comité. Pur trio, voire quatuor. Pour Ludwig, nous étions huit, dont deux dames.
Un de nos amis organisait en effet une petite sauterie dans sa gentilhommière. Il voulait me présenter sa nouvelle conquête, une épatante jeune quinqua. Un couple de mes amis devait nous rejoindre aussi, ainsi qu'un pote trav. Certains de mes contacts se sont également annoncés. Dont Ludwig, un jeune trentenaire marié, avec un jardin secret. Comme il avait déjà posé un lapin, je me demandais s'il allait vraiment venir. Il est bien arrivé. Pile à l'heure. Comme l'autre couple avait un peu de retard, on avait décidé de commencé les présentations sans eux. Notre hôte a revêtu Anya d'un collier et l'a fait mettre sur la table du salon, à quatre pattes. Dans son déshabillé vaporeux, elle était particulièrement appétissante et désirable pour les six hommes qui l'entouraient. Elle a bien su nous faire durcir, de la bouche ou de la main, ou en se laissant flatter la croupe. Comme tous les hommes étaient bi, ils se caressaient aussi mutuellement. C'est dans cette figure que le couple retardataire nous a trouvés.
Le temps étant venu de passer à la vitesse supérieure, nous sommes tous allés dans la chambre à coucher. Notre hôte avait mis le matelas par terre, histoire de faciliter le mikado géant qui allait s'y dérouler. Très vite, je me suis retrouvé contre le postérieur d'Anya. Respectant la plus élémentaire des politesses, je lui ai demandé si elle avait envie de se faire sodomiser. Malgré la largeur de mon chibre, elle a acquiescé, intégrant ainsi le petit club des dames dont j'aurai fait la connaissance par l'arrière avant l'avant. Après quelques allers-retours, j'ai laissé la place à un autre volontaire: il était temps que je m'occupe de l'éducation de Ludwig. Le temps de changer de préservatif, de lui préparer l'anus avant de l'enfiler en douceur, je pouvais le placer sur le dos, avec sa bouche sous la chatte de la dame, qui allait recueillir ses miaulements. Evidemment, je ne baise pas de la même façon, un cul féminin déjà bien rôdé et un jeune cul mâle et vierge. Je ne l'ai pas ramoné très longtemps, car son timing était serré. La situation si nouvelle pour lui ne lui permettant pas de bander dur, je lui ai proposé de se vider les couilles sur les seins de l'autre dame: je sais qu'elle adore voir et sentir un mec dégorger sur sa poitrine plus que généreuse. Et là, avec en plus, un doigt expert sur son clitoris (le mien.. de doigt) ça n'a pas manqué. Trois orgasmes se sont enchainés: celui de Ludwig, manuellement, puis la dame qui en recevait les honneurs, et enfin Anya qui se faisait aussi bien traiter par un autre membre de l'équipée.