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Comme à notre habitude, nous avions donné rendez-vous à ce jeune homme capté sur un site de clavardage dans un de nos saunas préférés de la région. Le seul avec une petite piscine dans son sein. Deux sms prévenant de son retard m'avaient fait douter sur sa motivation. Allait-il se dégonfler, comme le mec qui n'avait plus d'essence dans sa voiture, Comme celui à qui on avait volé ses papiers d'identité, comme celui qui n'avait pas pris le bon ticket de bus, comme les trois autres qui n'avaient envoyé aucun mot d'excuse ou comme celui qui avait oublié de dire qu'il était déjà sur place, incognito ? En l'attendant, mon épouse et moi avons taillé le bout de gras avec William, un pote déjà connu de nos services - qui avait réussi in extremis à parer un empêchement de dernière minute.
Comme je m'y attendais, beaucoup de gens se pressaient dans l'établissement à cause du beau temps. Je suis donc allé guetter l'arrivée de notre futur partenaire selon l'indication de notre dernier échange. Auguste était bien là. Un peu perdu - car c'était une découverte pour lui - du haut de ses vingt-cinq printemps qu'il arborait avec mouche et moustache. Pour faire connaissance, rien de mieux qu'un petit plouf. Pour faire plus ample connaissance, rien de mieux que de s'isoler en quatuor dans une cabine privée et discrète. Pour faire encore plus ample connaissance, rien de mieux que de lui donner ma bite à sucer. Il s'est exécuté en commençant par me lécher les bourses, avant de passer à l'entrejambe de mon épouse, lascivement étalée dans la position de la pachatte - mi pacha, mi chatte, position qui lui permettait de me pomper alternativement avec William. Cette première étape allait se clore par un premier orgasme féminin que j'ai pu facilement déclenché d'une caresse judicieusement prodiguée après un cunnilingus bien adapté. C'était désormais à nos deux partenaire de se faire pomper alternativement, tandis que je limais délicatement ma chère et tendre en levrette.
Auguste m'a demandé si c'était le moment des pénétrations... je lui ai répondu que oui et qu'on commencerait par lui. Mais, à peine était-il sur le dos, l'anus en train de se faire graisser avant l'embrochage, qu'il commençait à tortiller des fesses. Tandis que le pénétrais en douceur, une habitude avec les jeunes cadets inexpérimentés, il continuait ce que je prenais pour des jérémiades exagérées. En effet, son anus était détendu et je sentais que je pouvais pousser mon avantage sans encombre. Pour capturer ses gémissement, mon épouse est venue poser sa chatte sur sa bouche, me permettant de lui mordre la nuque façon vampire, et offrant un sein aux caresses de notre pote William. Las, l'apprenti mousquetaire a déclaré pouce, car il sentait son anus le brûler. Il avait néanmoins gagné le droit d'honorer ma belle, ravie de se faire enfiler par ce beau membre qu'elle avait fièrement redéployé. Vue la position choisie, je pouvais quant à moi lui caresser les couilles, prêt à diminuer son ardeur si elle s'avérait trop ardente - on se méfie des mecs très bien membrés qui ne se contrôlent pas. Mais le novice gérait bien son enthousiasme et s'il a reçu quelques claques sur son charmant postérieur, c'était un signe d'encouragement. William quant à lui, assistait à la saillie tout en me repompant le dard. J'avais plaisir à entendre les miaulement de ma lady, démultiplié par les caresses buccales que je prodiguais à ses petits petons. Mais c'est en silence que notre mousquetaire déchargea, mettant un terme à cette première joute.
Pour la seconde, William déclara forfait : une trop courte nuit l'avait en effet épuisé. C'est donc en pur trio que nous nous sommes retrouvés après un petit tour de la gravière extérieure. Nouvel essai pour prendre la citadelle par l'arrière. Nouvel échec. Mais c'est là que nous avons identifié le coupable : le lubrifiant. Certaines de nos amies s'étaient déjà plaintes de ce gel qui irrite les muqueuses frontales. Preuve en était qu'il peut avoir le même effet désastreux sur la sortie de secours. Petite note mentale: ne pas oublier un tube de secours pour une prochaine fois. C'est en léchant celle de mon épouse qu'Auguste s'est requinqué pour un deuxième assaut. Je l'y encourageais, d'abord en me faisant pomper, par lui, debout au-dessus de ma reine adorée, puis par elle, puis en lui mordant le cou. C'est qu'il y allait avec joie, le bougre ! La belle ayant refermé ses cuisses pour mieux sentir ses allées-venues, je savais qu'elle avait pris le chemin du paradis. Aussi, quand le mousquet de notre nouvel ami déchargea, je me suis empressé d'aller le remplacer, pour terminer l'ouvrage en beauté. Ah ! quel plaisir de pouvoir donner un bel orgasme à sa dame, sans être au bout du rouleau. Quelle joie de pouvoir continuer de la limer, en s'arrêtant, en reprenant, en jouant de ses gémissements, en grognant dans son oreille, jusqu'au point de non retour...
Le retour du mousquetaire ? on l'attend de pied ferme. "Tu as réussi à faire un bon choix ! " Un double compliment dont ma parcimonieuse épouse a le secret...
Après le générique de fin, nous avons eu le plaisir de discuter un bon moment avec un couple rencontré autour du buffet. De quoi donner envie d'une suite...