Le lâcheur, le fidèle, le nouveau et la surprise (FHHHH bi)
La sortie ne s'annonçait pas sous les meilleures auspices. Peu de réponses à l'annonce diffusée sur plusieurs sites spécialisée. Tous comptes faits, une seule confirmation le matin même, émanant d'un jeunot déjà rencontré, certes, mais aussi poseur de lapin confirmé. Et puis, juste avant notre départ, un fidèle, de longue date et de long dard, qui hésitait - il préparait une sortie de son côté - se décide à nous accompagner. Au même moment, un nouveau, ayant vu notre annonce en dernière minute, s'est dit intéressé par une petite halte coquine avant de rentrer chez lui.
En arrivant au sauna, on retrouve notre fidèle compagnon et on reçoit un SMS annonçant un petit retard de la part du nouveau. Du jeunot : nada. Un petit café puis direction le jacuzzi. A trois d'abord, puis à quatre avec le nouveau, un quadra bien fichu et très affable. Pour le faire taire, la solution classique allait s'imposer : lui enfiler mes dix-neuf par cinq dans la bouche ! Ce que j'ai fait dès que nous nous sommes retrouvés dans la grande cabine, à l'abri des regards inopportuns. De son côté, notre fidèle acolyte entreprenait savoureusement ma miss, s'imaginant déjà passer à la casserole. Une fois la vérification bi réalisée in vivo, le nouveau a pu aussi y goûter. Avec trois hommes la butinant allégrement, elle s'est surprise à éclore une première fois très rapidement. La deuxième fois, ce sera avec le nouveau seul, plus à l'aise avec ses doigts qu'avec son pénis - très impressionné qu'il était à se retrouver dans une configuration inédite ou qu'avec son fondement - que je me suis contenté de taquiner.
Contrairement à celui de notre loyal ami, tout content de me l'offrir après avoir honoré ma compagne. C'est sûr le chevalet que je l'ai installé, pour le baiser en mode salope, comme on aime.
Après ce premier set, on s'est retrouvé au fumoir - nous avons d'autres vices - pour discuter un brin. Un autre client présent a sans doute pu s'apercevoir que nous étions une joyeuse équipe, car plus tard, je l'ai vu se pointer sur le seuil de la cabine, alors qu'on allait commencer un second set. Je lui ai précisé que nous ne coquinions qu'avec des hommes bi, et qu'on attendait d'un homme bi qu'il suce. Il s'est donc empressé de me montrer qu'il était bien un homme gourmand, en plus d'être un peu trapu mais bien fichu : une bonne surprise donc, passif, mais pas trop non plus, vu les grimaces qu'il faisait pendant que je le prenais alors qu'il léchait la chatte que ma miss lui offrait. Chatte dans laquelle il s'est engouffré peu après, pour une baise rapide et vigoureuse qu'il a mené à son terme, me laissant le caresser et prolonger ainsi son orgasme. Après que ce boute-en-train ait fait son office, c'est tout naturellement moi qui ai investi la place. Pour une chevauchée qui nous a mené à une extase commune, ma femme, moi... et le nouveau qui avait enfin réussi à durcir pour se finir à la main.