L'après-midi d'un faune (sauna, bi, D/S)
Plusieurs scènes vont composer le compte-rendu de cet après-midi chaud, humide et revigorant.
A peine entrés dans le sauna libertin qu'on fréquente irrégulièrement, ma faunesse et moi avons eu l'agréable surprise de tomber sur une des joyeuses luronnes de notre petit cercle libertin. Sur un coup de tête, elle avait eu l'envie de le faire découvrir à son cavalier du moment, un trentenaire à la carrure de rugbyman et novice ès libertinage. En allant les retrouver à la table d'un couple de nos amis, j'ai aussi repéré un autre membre - plutôt élancé- du groupe. C'est donc par un septuor qu'on allait entamer nos joyeusetés, dans la salle du fond, toute en longueur, et qui nous permet de nous ébattre en toute discrétion. Discrétion visuelle bien sûr. Car sur le plan acoustique... disons que mon épouse et la luronne n'étaient pas avares de vocalises, témoignant des bienfaits que leur partenaires leur prodiguaient, cela, même si leur bouche étaient aussi mise à contribution. Après un prélude buccal sur la fameuse luronne, je me suis couvert pour l'enfourcher avec une vigueur maitrisée, histoire de ne pas assommer la troisième dame à qui j'avais proposé de me lécher les bourses. Mais c'est avec un pistonnage digital que je l'ai fièrement menée au final de ce premier mouvement. Et pourquoi pas tenter une variation sur le même thème avec ma faunesse ? Je sais que son point G est plus farouche, mais là, il a répondu présent. A la grande joie de son faune.
Le lecteur attentif aura remarqué qu'une des trois dames est un peu restée sur sa faim lors de ce premier mouvement. Surtout qu'elle voulait me montrer un nouveau gadget. On s'est dit qu'un interlude en duo pourrait y remédier. En fait, la petite maligne avait acquis une montre "intelligente" et elle se demandait comment elle réagirait en cas d'orgasme. Comme elle m'avait avoué en début d'après-midi, qu'elle souhaitait s'en remettre à moi, je n'allais pas laisser passer l'occasion de jouer au Toscanini. Le duo a donc commencé par un roulement de timbales callipyge. Suivi d'une fellation grand luxe. Quelques mots crus, quelques ordres, quelques gestes secs, et je la sentais littéralement fondre sous mes doigts, et sous ma langue. Je sentais que j'allais pouvoir réveiller la fontaine si je m'appliquais bien. En mode mitraillette : tac-tac-tac. Après le premier tac, coup d'oeil à la montre "intelligente". Bon. on a la pression atmosphérique, l'âge du capitaine et le nombre d'orteils. Ne laissons pas refroidir la belle. Deuxième tac. Ah ! on arrive au pouls: un joli cent soixante-huit. Troisième tac. Quel mérite quand même d'y arriver dans cette ambiance rigolarde !
En musique, le troisième mouvement est souvent lento. Ici, on a carrément donné dans le "pathétiquo". Alors que je racontais l'épisode précédent à ma faunesse tandis que nous profitions du jacuzzi, un homme nous a demandé s'il pouvait nous accompagner pour libertiner. Je lui ai précisé qu'en homme seuls, nous ne rencontrions que des hommes bi. Là, il a sorti sa flûte de Pan, pour nous sortir une mélopée comme quoi il se sentait attiré par les hommes, mais qu'il rejetait ce côté obscur et qu'il voulait baiser une dame. Je lui ai reprécisé notre critère. Il s'est alors emporté, nous reprochant d'être des libertins coincés. Il devenait désagréable. Pas très étonnant que sa stratégie ait fait long feu dans l'établissement, pourtant bien achalandé en ce dimanche d'automne. Nous serions sortis du bains à bulles, s'il ne l'avait pas fait lui-même. Il avait juste oublié que la seule règle dans le libertinage, c'est le respect.
Du bain à bulles, nous en sommes sorti pour le finale: un quintet dans la grande pièce du milieu - celle avec le nouveau chevalet. En effet, la luronne et son cavalier lorgnaient plutôt vers la salle de massages. Je savais que grand célibataire était friand de fessée, et j'avais justement apporté ma raquette de ping-pong. Installé sur le chevalet, sa croupe se faisait rougir par sa maitresse callipyge du jour et sa bouche remplir par mon membre tendu comme un archet. Sur la banquette à côté, ma faunesse et l'autre mari attendaient leur tour en se mettant au diapason. Bien leur en a pris. Car une fois la faunesse sur l'autel, elle a été servie. On lui a baisé la chatte et la bouche, alternativement, jusqu'à lui provoquer un nouvel orgasme mixte. D'ordinaire, elle demande une pause après tout orgasme. Mais là, je ne la lui ai pas accordée : "Il n'y a pas que le consentement dans la baise !" lui ai-je asséné en l'installant à quatre pattes sur le lit. J'avais bien deviné qu'elle était particulièrement en forme. Je n'ai donc pas été surpris de l'emmener une nouvelle fois à la jouissance dans une levrette vigoureuse. En avait-elle fini pour autant ? Pas vraiment, vu qu'elle était encore capable d'écarter les jambes, pour se faire lécher par l'autre mari que j'avais entrepris de sodomiser.
